samedi, mars 23, 2013

All the time that I need is never quite enough...

Après leur discutable Angles, la bande à Julian Casablancas revient avec un cinquième effort...


Je vais commencer par être sincère et surement me faire pas mal d'ennemis mais j'ai un certain penchant pour le danger comme dirait l'autre...je ne suis pas franchement fan des Strokes! Alors oui je suis d'accord que certains de leurs titres sont géniaux, très émouvants et où la voix de Julian Casablancas est sublime ("Someday" me fait pleurer, info du jour) mais je n'ai jamais réellement adhéré à la secte de fans qui seraient prêts à tuer pour obtenir le premier rang d'un concert, bien que je ne cracherais pas de les voir en live... J'ai toujours plus été de l'autre côté de l'Atlantique si vous voyez ce que je veux dire^^... Bref, tout ça pour dire que lorsque je me suis lancée à l'écoute de ce Comedown Machine, je n'étais pas très enthousiaste sachant que leurs deux premiers singles "One way trigger" et "All the time" ne m'avaient pas mais alors pas du tout séduite. Parlons maintenant du contenu de l'album peut-être, on m'a dit qu'on était là pour ça... J'ai plutôt aimé! L'entrée en matière avec la génialissime "Tap out" y est surement pour quelque chose mais je dois avouer que plus j'écoute cet album plus je l'apprécie. Des titres comme "Welcome to Japan", "Chances" et "Partners in crime" où la combinaison guitares lacérées et sonorités 80s fonctionne très bien et la fantastique "Call it fate call it karma" m'ont enchantée, malgré tout, le reste est quelque peu ennuyeux et récurrent voire fadasse (et "All the time" demeure toujours imbuvable pour ma part...). La carrière du groupe New-Yorkais a tout de même emprunté un virage électro délaissant leur hargne de début mais après tout est-ce si mauvais que cela? On préférera quand même attendre la sortie du cinquième opus du groupe ayant pris un virage délicieusement heavy^^...







-A.

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