dimanche, avril 28, 2013

Does everybody really feel as high as a kite?

I’m petrified about getting old and I’m incredibly nostalgic. (Justin Young)

I'll hopefully never come of age (Árni Hjörvar)

Depuis longtemps j'avais réservé ma place pour ce qui promettait d'être un concert mythique, The Vaccines au Bataclan le vendredi 26 avril 2013.




Arrivés les premiers devant la célèbre salle parisienne, l'attente s'assurait longue mais c'était sans compter l'arrivée de Árni, Pete puis Justin et Freddie saluant timidement les quelques fans dans la file qui a enrichi notre après-midi.


Agréable surprise en ce qui concerne la première partie assurée par le trio français Talisco qui a su chauffer la salle en délivrant un set d'une demi-heure agréable et rafraîchissant!
21h, la pression monte lorsque les lumières s'éteignent et que la foule se compresse contre la scène. Arrivent alors les seuls et uniques Vaccines qui commencent fort avec la caractéristique "No hope" et donnent le ton de la soirée : fiévreuse et déjantée!
S’ensuivent "Wreckin' bar (ra ra ra)", "Tiger blood", "A lack of understanding", "Wetsuit" reprise par le public qui ne la rendue que plus émouvante. Justin a beau s’époumoner sur "Teenage Icon" nous  assurant qu'il est 'nobody's hero' mais ce soir, tout le monde sera d'accord qu'il s'agit bel et bien de notre héro!  Les titres s'enchaînent (la setlist sera la plus longue jamais jouée par le groupe et comprendra "All in vain" jouée pour la seconde fois en live) et le groupe nous offre une nouvelle géniale composition "Melody calling" qui semble ravir le public... Les garçons nous avait laissé imaginé l'impossible en répétant "Family friend" pendant les soundcheck...et voilà que nous avons le plaisir d'entendre la magnifique chanson en live (pour la première fois en ce qui me concerne) et de réaliser que nous sommes en train de vivre un moment unique, un moment de communion entre le groupe et les fans, un moment où seule la musique compte... Justin finira même au sol à la fin nous prouvant que le rock, ça se vit!
La reprise des Monkees "Whole wide world" jouée pour la toute première fois, l'acérée "Bad mood'" et l'énergique "Norgaard" clôturent le concert, Pete se fera même plaisir avec un mini bain de foule pendant que les autres disparaissent en remerciant le public...
La voix et le corps bien amochés le lendemain mais un sentiment et une satisfaction personnelle de se dire "j'y étais"!













Pete Robertson's drum stick, a Vaccines guitar pick and Justin Young's setlist (longest Vaccines' setlist ever).


-A.

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